
Bérangère McNeese dans HPI : "La série plaît pour sa légèreté"

Diffusion le 9 mai à 20h15 sur La Une
Dans cette troisième saison du projet porté par Audrey Fleurot, l’actrice belgo-américaine incarne Daphné, une policière qui aime l’ordre. Rencontre.
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Vous avez déjà dit qu’il s’agissait de la meilleure saison. Pourquoi?
Je crois que le contenu du scénario a été adapté en fonction de ce qui marchait le mieux, avec l’envie de mettre plus en avant le côté comédie. Puis, on nuance un peu plus les relations entre des personnages que le public connaît déjà. Mon personnage y compris, lui qui est tellement procédurier qu’il peut irriter! Ce qui n’empêche pas qu’on s’aime tous dans ce commissariat…
Sachant que la série a dépassé les dix millions de téléspectateurs en France, y a-t-il eu une pression sur le tournage?
Il faudrait voir du côté de ceux qui la préparent! Mais pour nous comédiens, non, au contraire même. C’est jubilatoire de faire quelque chose dont on sait que ça va être vu. En découvrant les deux premiers épisodes au festival Séries Mania de Lille, j’ai remarqué qu’il y avait une rangée entière de filles déguisées en Morgane, le personnage d’Audrey Fleurot. Avec les mêmes marques de vêtement! La série plaît pour sa légèreté. Y compris sur le plateau, où rien n’est cadenassé. Depuis le début, on est libres de proposer plein de choses.
Et là, vous tournez dans un docu-fiction sur les Snuls?
Oui, qui s’appelle De toute façon, dans 20 minutes, vous aurez tout oublié, coréalisé par Gilles Dal et Guillermo Guiz. Mon rôle est hybride, mais j’y apparais assez bien. Puis sortira Veuillez nous excuser pour la gêne occasionnée d’Olivier Van Hoofstadt (Dikkenek), dont la majorité de l’intrigue se passe dans un train. Et là, je viens juste d’apprendre que je jouerai dans une pièce à Paris, aussi…