
Tout savoir sur le fromage à tartiner : pourquoi un tel succès ?

Diffusion le 12 avril à 19h50 sur RTL-TVI
Les chiffres sont plutôt dingues: si le marché mondial du fromage est estimé à plus de 20 millions de tonnes annuelles, une étude récente révèle que chaque Belge consomme, en moyenne, entre 12 et 13 kg de fromage par an. On parle là de tous les fromages - à pâte dure, molle, persillée, etc. Mais parmi ceux-ci, un élu connaît un succès que l’on peut aisément qualifier de “phénomène”: ce bon vieux fromage à tartiner, dont les ventes viennent encore d’augmenter de 30 % ces dix dernières années. L’observation la plus étonnante qui résume son aura? Chez nos voisins français, ses ventes dépassent celles du camembert…
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Autant dire que Coûte que coûte a du pain - et même un peu de charcuterie pour compléter le repas - sur la planche, le magazine ayant décidé de s’intéresser au fromage à tartiner sous toutes ses facettes. Disons même “sous toutes ses formes”, puisqu’à l’évocation de ces moelleux plaisirs synonymes d’enfance heureuse, il y a un petit triangle qui sort clairement du lot. Une vache mythique qui fait clairement ruminer ses concurrents de jalousie, et ce depuis l’année 1921, lorsqu’un certain Léon Bel pressent que le fromage fondu a une sacrée place à se faire dans le monde d’après-guerre. L’industriel français croit dur comme fer à sa formule: un produit économique et goûteux, dont l’emballage à lui seul est voué à plaire à toute la famille. La marque est déposée. Bingo: dès la première année, pas moins de 12.000 boîtes par jour sont vendues. Tout cela grâce à une “vache qui rit”. mais on ne sait pas trop bien pourquoi. Enfin si, nous, on le sait, mais on laisse Coûte que coûte vous l’expliquer, au risque de faire fondre tout suspense. Petit indice pour ceux qui auraient envie de jouer: le mot “wachkyrie” a toute son importance dans l’histoire…