Paloma et Jason, les deux Belges de Pékin Express : "C'est là qu'on apprend le sens du bonheur"

Un an après la victoire belge de Lucas et Nicolas, un couple de Montois fait partie de l’aventure.

Pékin Express
© Prod.
Diffusion le 18 février à 20h05 sur Club RTL

Ils s’appellent Jason De Waele et ­Paloma Houze, sont ensemble ­depuis douze ans et forment un couple fusionnel. Ils n’avaient ­encore jamais pris l’avion, avant de s’embarquer pour la dix-septième saison du jeu français, qui sillonne la Bolivie, le Paraguay et le Brésil. Entretien.

Le tournage s’est déroulé l’été dernier, comment s’est passé votre retour à la normale?
Paloma - Honnêtement, j’ai eu du mal à me remettre dans le bain. C’est une aventure tellement exceptionnelle et enrichissante, même si elle est éprouvante physiquement et psychologiquement, que ­lorsqu’on en revient, c’est difficile de ­reprendre un train de vie ordinaire.
Jason - Sans parler du décalage horaire. Puis, quand on participe à ça, on est chouchouté, on vit dans une bulle, détaché du monde, de l’actualité, des médias.

Vous avez déjà dit avoir été marqués par les locaux…
Jason - Oui, et de la chance qu’on a d’être Européens. On ne se rend pas toujours compte du monde égoïste dans ­lequel on vit. Alors bien sûr, on devinait un peu tout ça avant de se déplacer, mais quand on côtoie ces gens, c’est autre ­chose. On se prend une claque. De voir ces personnes qui ont un cœur énorme, alors qu’elles n’ont presque pas d’argent pour manger. Et qui seraient prêtes à tout donner, quitte à dormir par terre pour vous donner leur lit. C’est peut-être là qu’on apprend le sens du ­bonheur… ­

Donc forcément, après une telle expérience, on n’est plus pareil…
Paloma - Plus du tout. Avant, j’étais une acheteuse compulsive, dans le superficiel. Je ne suis plus la même. J’ai revendu une bonne partie de mes vêtements, changé ma manière de voir les choses. Ça m’a ­remis les neurones en place (sourire)…

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