Les Bracelets rouges, une quatrième saison avec de nouveaux personnages

Quatrième saison pour la série médico-hospitalière qui met en scène de jeunes ados.

LES BRACELETS ROUGES
© TF1
Diffusion le 16 février à 20h35 sur La Une

Après le succès des trois pre­mières saisons, voici une nouvelle intrigue et de nouveaux acteurs, parmi lesquels Léo Lorléac’h (King, Alex Hugo), qui ­interprète Benji.

Les téléspectateurs doivent-ils s’attendre à un tout nouveau cycle?
Léo Lorléac’h - Le concept des Bracelets rouges reste, mais c’est une nouvelle génération de persos qui débarque avec de nouveaux handicaps. Moi, je joue le rôle de Benji, qui souffre d’une maladie dégénérative. Il y a aussi Gabriel, qui n’a plus l’usage de ses jambes à cause d’un accident, Emma qui souffre de problèmes aux reins, Zoé qui a potentiellement une ­tumeur dans le bras et Nathan, qui est aveugle après un accident de surf. C’est autour des joies et problèmes personnels ainsi que d’événements plus larges que l’entraide de ces ­jeunes va se bâtir. Ils ­cherchent à surmonter leur maladie, mais aussi leurs pro­blèmes d’adolescents, ­comme les amourettes, les amitiés mises en péril, puis ­évidemment les ­bêtises.

Tu connaissais le monde du handicap avant de te plonger dans la série?
Non, je n’y ai jamais été confronté, que ce soit pour moi ou dans mon entou­rage. Sur le plateau, j’ai pu rencontrer des ­jeunes qui ont de vraies souffrances. C’est inspirant: on découvre de nombreux ­aspects que l’on ignorait de la ­maladie et pourtant, il y a de l’humour, ils sont tranquilles. Il n’y a aucune différence avec d’autres jeunes: eux aussi, ils ont envie de vivre.

Jouer le rôle de Benji est inédit pour toi?
Généralement, le comédien est beaucoup dans la gestuelle, donc le fait de ­devoir rester immobile et de ne pas pouvoir bouger la tête puisque Benji souffre d’une maladie dégénérative est assez nouveau. Il faut jouer avec le regard, être dynamique tout en restant assis. Il y a eu un travail avec un coach au moyen de vidéos pour parfaire la position de mon corps, ma respiration.

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