
Francis Cabrel, le patron silencieux

Dès 1977, Francis Cabrel se rebelle, quand sa maison de disques gomme son accent sur Petite Marie. L'artiste ne revendique pas le titre. Tenace, il ressort sa version à lui quinze ans après, avant de s'installer au sommet du hit-parade durant des mois. Plus tard, quand il voudra un son plus nerveux pour Sarbacane, il ira jusqu'à se séparer de toute son équipe. Pour avancer. Pour faire toujours mieux. Et s'imposer comme un véritable patron qui, comme Goldman, refusera toujours férocement les projecteurs. Ce documentaire de 2015 évoque cette vie paradoxale entre gloire, silence et, donc, respect.
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