
Dans les yeux d’Olivier

Le temps d’une nuit passée en leur compagnie, le journaliste a tenté de sonder leurs motivations: le sentiment de liberté, la singularité d’une vie nocturne, la solidarité de ceux qui partagent le même rythme atypique…
Un fonctionnement pas banal qui n’est pas sans conséquences, lorsque la fatigue s’accumule au creux des rides et que le décalage nourrit une certaine solitude. Hélas, si le monde des travailleurs de nuit nous semble bien souvent aussi étrange qu’étranger, il ne ressort rien que d’assez banal de ces témoignages. Olivier Delacroix lui-même paraît en manque d’inspiration dans son commentaire – jusqu’à la conclusion, un peu légère. Dommage.
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