
Coûte que coûte: Class action

Aux États-Unis, cela existe depuis le début des années 50 – 8.485 plaignants avaient à l’époque uni leurs cris pour obtenir réparation après l’explosion d’un navire dans le port de Texas City.
Aujourd’hui, le procédé est surtout utilisé par les consommateurs en colère qui veulent s’attaquer à des puissants lobbys.
Avantage principal de la méthode: éviter les procès interminables avec les mêmes témoins, les mêmes questions et les mêmes pièces à conviction.
Ce mercredi, Coûte que coûte décortique la force réelle de cette arme pénale méconnue. En s’immergeant dans la machine judiciaire américaine, d’abord. Mais aussi en zoomant sur une Europe qui accuse… un train de retard.
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