
5 oeuvres à (re)voir avec Bouli Lanners

Nobody Has To Know
Dans cette histoire ultra-sensible (la cinquième qu’il réalise), Bouli Lanners filme de beaux paysages d’Écosse, et le retour à la vie d’un homme qui, après un AVC, ne se souvient de rien. Résultat: deux Magritte, meilleur film et meilleur réalisateur. Mérité.
La nuit du 12
Récemment distingué par 6 césars (dont celui de meilleur second rôle pour Lanners), ce polar moderne montre tout ce que le comédien sait faire autour d’une histoire - difficile - de féminicide. Le rôle lui vaut le Magritte du meilleur acteur…
Hippocrate
La série met en scène le quotidien d’un hôpital parisien et les difficultés rencontrées par son personnel. Olivier Brun, chef des urgences, est incarné par Bouli qui, une fois encore, insuffle à son personnage une humanité qui lui ressemble beaucoup.
De rouille et d’os
En 2012, dirigé par Audiard, entouré de Marion Cotillard et Matthias Schoenaerts, il est organisateur de matchs de boxe clandestins. Un rôle qui assoit sa position dans le business français où il a déjà sa place grâce à Kervern et Delépine.
Les Snuls
C’est dans le programme de ces mabouls “plus ou moins nets” qu’on l’a vu pour la première fois dans les années 90. Régisseur, il passe face caméra et incarne des personnages improbables qui font office d’extraits d’actes de naissance.