

Dressant des ponts entre l’Afrique et l’Occident, il renoue avec l’âme algérienne sans jamais retourner son perfecto.
Épaulé du guitariste Mick Jones (The Clash), Rachid catapulte ainsi le Now Or Never d’Elvis dans le désert du Sahara. Envoûtant.
La belle affaire s’achève sur un chant antixénophobe (Voilà voilà), produit par Brian Eno et entonné par toute une smala, de Femi Kuti à Eric Cantona.
Le 3/5 aux Nuits Botanique.
Rachid Taha
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Naïve