
La prima cosa bella

De tout ça, Bruno se souvient 30 ans plus tard, au chevet de sa mère mourante. Virzi dresse le portrait doux-amer d’une famille éclatée mais se disperse toujours. En effet, morcelé entre passé et présent, le film n’a pas de point de vue, déborde de partout, hésite entre le mélo larmoyant et la comédie hystérique. Virzi sue à grosses gouttes pour faire un film à la manière des comédies italiennes des années 60. Le hic, c’est qu’il n’arrive pas au petit orteil de ses illustres modèles comme Risi ou Scola. L’étoile est pour Stefania Sandrelli et Micaela Ramazzotti (qui jouent toutes deux Anna), splendides malgré tout.
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