
Dour 2012 : Le Bilan

Les “+” de NoBullshit!
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La super ambiance et les sourires partout malgré les conditions climatiques.
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L’intensité. A Dour, il y a toujours quelque chose à faire, à voir, à boire.
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La programmation. Exemple: le vendredi, on a enchaîné Sébastien Tellier,Napalm Death, Battles et Blackstar. Il n’y a que Dour qui ose ce grand écart.
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Le gravier dans “la montée” pour éviter l’effet patinoire.
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Les gardiens et agents de sécurité qui n’ont pas oublié leur bonne humeur.
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Le service nettoyage qui ratisse le site toute la journée.
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Les tables devant La Petite Maison dans la Prairie.
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Les after-partys bien fréquentées dans le container NoBullshit!
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La qualité du son sous les chapiteaux.
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L’absence de file aux bars.
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Les parfums rastas du Bar dans le Bois.
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AV Press pour le coup de main sympa pendant les concerts.
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Olivier Donnet pour ses bonnes vibes et sa photo souvenir de notre team.
Les “-” de NoBullshit!
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Les mecs qui s’amusent à éclabousser les autres.
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Le manque de public dans certains chapiteaux la nuit.
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On le met chaque fois, mais il le mérite: le Joe Piler Saloon et le spectacle d’une vulgarité affligeante qu’il offre.
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L’absence de plancher devant The Last Arena.
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Le manque de diversité dans les stands de restauration.
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Les banques qui se sucrent sur les retraits aux distributeurs.
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Même à Dour, la pluie, ça mouille.